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électrosensible

  • Témoignage d'un électrosensible

    (voir : Avertissement)


    Cinq années de galère… Fin 99, j’ai déménagé dans une nouvelle maison à la campagne. Un boulot passionnant, une femme adorable, des jumeaux de 2 ½ ans, le rêve allait commencer…

     

    Le rêve ?… Par la suite, mon état de santé n’a cessé de se dégrader. Au départ, insomnies du dimanche soir. Je me disais que c’était dû à la reprise du boulot le lendemain. Ensuite, nervosités, tensions, manque de concentration, aucune résistance au stress, manque de motivation, troubles de panique, oppression thoracique, vertiges, intolérance aux déodorants,… le sentiment de n’être jamais heureux, alors que tous les éléments étaient là pour concourir à mon bonheur. En plus, cela ne correspondait pas du tout à ma personnalité. Je n’y comprenais rien.

     

    L’année 2004 fut catastrophique. Il m’était devenu impossible de dormir correctement. Je n’étais plus capable de faire un jogging. La descente aux enfers avait commencé. Mon état se dégradait irrémédiablement. Je me voyais plonger vers une SFC (Syndrome de Fatigue Chronique) ou Fibromyalgie.

     

    Premier congé de maladie, visites chez de nombreux médecins, test du sommeil… Rien, aucun résultat, excepté le diagnostic d’un très mauvais sommeil. Les médecins et psychologues m’ont fait croire que le problème était psychosomatique.

     

    Je restais convaincu que mon problème était ailleurs et était dû à une cause inconnue.

     

    Un jour, je me suis rendu compte que mon ordinateur m’énerve. Dès que je l’approchais, que j’y travaillais pour mon boulot ou pour mon plaisir, j’avais envie de le jeter au loin.

     

    Je venais d’installer un réseau Wifi à la maison.

     

    A partir de ce moment, j’ai appris à reconnaître les symptômes du stress électromagnétique.

     

    J’ai entamé des recherches sur Internet, et découvert les nombreuses sources de pollution électromagnétique – téléphone DECT, détecteurs de mouvements de l’alarme anti-intrusion. J’en étais équipé depuis mon déménagement il y avait un peu plus de cinq ans. Je les ai supprimés.

     

    Mon état s’est légèrement amélioré, mais j’étais encore loin de la guérison. J’ai décidé d’aller dormir ailleurs, à une autre adresse. De suite, mes nuits ont été meilleures. Mes insomnies étaient moins fréquentes. Elles étaient surtout beaucoup plus calmes. A la maison, après un endormissement normal, je me réveillais brutalement atteint par des troubles de panique, des vertiges. Je devenais fou et je ne savais plus où me mettre. Il m’était par ailleurs impossible de me rendormir. Ailleurs, je me mettais en relaxation et j’arrivais à me rendormir.

     

    A la maison, il restait une source d’ondes électromagnétiques que je ne pouvais pas supprimer.

     

    Depuis fin 2003, un opérateur Mobile avait installé une antenne relais à 250 mètres de mon domicile. Pour me protéger et suite au succès de mes nuits passées en dehors de chez moi, j’ai décidé de construire une cage de Faraday et d’y installer mon lit. Pendant la journée, je portais une casquette de protection contre les ondes.

     

    L’histoire de la casquette de protection est incroyable. A la maison et au pire de ma maladie, je restais dans un fauteuil. J’étais incapable de faire quoi que ce soit. Chaque fois que je prenais l’air à l’extérieur, lorsque je rentrais chez moi, j’éprouvais des vertiges, maux de tête. Je devais m’asseoir ou me coucher, ne rien faire et attendre que cela passe. Un jour, en n’y croyant pas, je me couvre la tête de papier aluminium et je mets une casquette par-dessus. Un quart d’heure après, je me sentais mieux. Les résultats étaient incroyables. C’est alors que j’ai commandé une vraie casquette de protection sur Internet. Depuis, à la maison, je ne la quittais plus.

     

    J’ai même osé porter la casquette au boulot. Tous les débuts d’après-midi, j’éprouvais un manque de concentration flagrant. Je devais relire dix fois la même phrase pour la comprendre. Je mettais la casquette et cinq minutes après je retrouvais ma concentration.

     

    Depuis ce moment et petit à petit, j’étais arrivé à gérer mon exposition aux ondes. J’avais retrouvé une motivation et une concentration normale. Mes nuits étaient devenues nettement meilleures et j’ai eu moins d’insomnies. Les insomnies apparaissaient encore dans certaines situations - travail intellectuel intensif durant la journée, - exposition à des fumées (cigares, cigarettes, barbecue,…), lorsque je nettoyais ma voiture au karcher (cela paraît absurde mais c’est la réalité!) - stress imprévu, - utilisation d’une pommade contre les irritations de la peau, - changement de dentifrice … . Mais je restais calme et elles étaient gérables par la relaxation.

     

    L’IBPT est venu mesurer la puissance des ondes électromagnétique à mon domicile. La puissance maximale mesurée dans les pièces les plus exposées dont ma chambre à coucher, est de 0,17 V/m. Il a également mesuré ma cage de Faraday. Il y avait une diminution de 25 dB, soit une diminution d’un facteur 100.

     

    Ce résultat m’a quelque peu rassuré. Mais n’apportait aucune solution à mon problème de santé. La question me hantait. Pourquoi ne suis-je pas capable de supporter de si faible puissance.

     

    Avant de me protéger contre les ondes, j’avais essayé de nombreux traitements, anti-dépresseurs, somnifères, neuroleptiques, mélatonine, … . Mais celui qui donnait le meilleur résultat était à base d’antioxydants (Chlorella ou Chlorelle).

     

    Finalement, un médecin spécialisé en médecine environnementale m’a prescrit différentes analyses. Deux analyses (test Melisa sur différents métaux et test des Porphyrines urinaires) ont diagnostiqué deux anomalies. La première a décelé une intolérance au dioxyde de titane (colorant alimentaire : E171). La seconde a conclu à une intoxication au mercure, plomb ou autres toxiques organiques. Une autre analyse a corroboré la thèse de l’intoxication (analyse des neurotransmetteurs – excès au niveau Dopaminergique et déficit au niveau Sérotonique).

     

    Une contre analyse faite au Luxembourg a rejeté la piste d’une intoxication au mercure. Une autre a rejeté l’intoxication au plomb. D’autres analyses complémentaires n’ont pas pu identifier la véritable origine de mon intoxication.

     

    Selon mon médecin, cette intoxication perturbe le fonctionnement du foie et nuit à la détoxification de mon organisme. Elle perturbe la réaction de méthylation. Ce mauvais fonctionnement empêche la fabrication d’antioxydants naturels et surcharge mon organisme en radicaux libres.

     

    De plus, lorsque le dioxyde de Titane a la taille d’une nanoparticule il pourrait être également une autre source de radicaux libres. Il pourrait également jouer un rôle au niveau biologique et chimique[1].

     

    Le dioxyde de Titane est étudié comme revêtement de surface pour ses propriétés dépolluantes. « Le TiO2 absorbe l'énergie des photons issus du rayonnement UV, et les restitue aux molécules d'eau présentes dans l'air pour permettre la création de radicaux libres. Ces radicaux extrêmement réactifs sont des oxydants très puissants qui agissent sur les particules polluantes absorbées »[2].

     

    Est-ce que le Dioxyde de Titane ingéré est aussi inerte que ce que l’on prétend ? Quelle peut-être sa réactivité face aux ondes électromagnétiques qui nous environnent ? Quelle est son influence sur le stress oxydatif de l’homme ? Beaucoup de témoignages d’électrosensibles mentionnent des implants en métal. Souvent ces implants sont en Titane. Est-ce qu’un implant en Titane peut s’oxyder et produire du Dioxyde de Titane ?

     

    L’étude qui a servi à son approbation dans la chaîne alimentaire semble bien désuète. Seul le foie, les reins et les muscles d’une population de rats ont été analysés après ingestion[3]. De plus une différence importante apparaît dans les mesures d’excrétion du Dioxyde de Titane. Les femelles ne rejettent en moyenne qu’une quantité de 1,1 à 1,3 mg alors que les mâles excrètent de 1,1 à 2,2. Aucune analyse n’a été faite sur le cerveau et sur une influence potentielle sur le stress oxydatif.

     

    J’ai commencé un traitement pour éliminer les métaux lourds et pour drainer le foie et les reins.

     

    Après cinq mois de traitement, mon état général était bon. J’avais retrouvé mon humour, ma motivation, mon bien-être. J’étais redevenu tout simplement heureux de vivre. Je n’étais plus sensible aux ondes. Je pouvais rester à coté d’un téléphone DECT sans ressentir les symptômes. Mieux, je suis informaticien et je suis souvent envoyé en mission chez des clients. Chez un de ces clients équipé de réseaux Wifi, une année auparavant il m’était pénible de rester pour y travailler. J’y suis retourné pour une courte mission. J’ai pu y effectuer mon travail normalement sans ressentir de symptômes. A de rares moments d’engouement ou de travail plus intensif, je les ressentais à nouveau mais je ne souffrais plus d’insomnies après une journée de travail.

     

    Après sept mois, je me sentais vraiment en confiance. Je ne ressentais les symptômes qu’a de rares occasions. Deux semaines auparavant j’avais abandonné ma cage de Faraday et mon sommeil était resté de bonne qualité.

     

    J’avais décidé peu de temps avant le traitement d’arrêter toute consommation de café. Le café étant un excitant, j’avais préféré l’éliminer.

     

    Un jour j’ai repris un café avec mes collègues. La nuit qui a suivi a été terrible. Je me voyais revenir six mois en arrière, insomnie totale, vertige, crise de panique. Je me demandais vraiment ce qui en était la cause. Durant cette fameuse nuit, je pensais remonter ma cage de Faraday. C’est à ce moment que j’ai pensé reporter ma casquette de protection. Aussi absurde que cela puisse paraître, je me suis de suite calmer et j’ai pu m’endormir.

     

    Mon médecin n’était pas vraiment surpris. Pour lui, mon organisme élimine mal certaines toxines ou déchets. Il est plausible que mon organisme ne supporte pas la caféine et la digère très mal.

     

    Il est apparemment reconnu que les nano particules de type Dioxyde de Titane passe la barrière hémato encéphalique et qu’ils peuvent être source de radicaux libres. Les fumées de cigares (j’étais un amateur occasionnel) sont également sources de radicaux libres. Toute activité physique entraîne une augmentation du stress oxydatif. Par conséquent, le moindre excès sature mon organisme en radicaux libres. A mon avis, les ondes électromagnétiques jouent certainement un rôle au niveau de mon stress oxydatif.

     

    Il y a une corrélation directe entre mon exposition aux ondes et mon bien-être. Par deux fois, j’ai essayé de dormir en dehors de ma cage de Faraday. A chaque fois, les problèmes recommençaient au bout de deux semaines. A chaque fois également, une augmentation de la dose d’antioxydant me permettait de résoudre en partie le problème, de même qu’une protection encéphalique. Après un mois en dehors de la cage, la protection encéphalique n’était plus suffisante et un retour à la cage de Faraday devenait obligatoire. Je suis persuadé qu’il existe une certaine inertie à l’exposition aux ondes. Il faut parfois beaucoup de temps avant d’en ressentir les effets. Après quelques mois, un repos d’une nuit à l’abri des ondes semble être suffisant pour supporter une exposition diurne.

     

    Il ne me reste plus qu’un symptôme physique. Je sens une gêne au niveau du cœur. Cette gêne est plus ou moins forte par moments. Je n’ai pas encore trouvé de logique à cette variation. Néanmoins, la gêne augmente quand j’interromps mon traitement à base d’antioxydants.

     

    Mon envie de témoigner a été motivée par les graves conclusions que l’on peut en tirer et les tragédies que pareilles maladies peut entraîner. Ne pas témoigner lorsque votre bien-être a été dégradé à un point tel que votre vie était menacée est de la non-assistance à personne en danger.

     

    Un de mes anciens collègues de travail était également électrosensible. Il est venu à la maison pour voir ma cage de Faraday. On s’est échangé quelques emails, je comptais le contacter à nouveau pour lui expliquer mon amélioration. Il ne m’en a pas laissé le temps. Dernièrement, j’ai appris qu’il avait mis fin à ses jours. Aujourd’hui, je m’en veux. J’aurais du le contacter plus tôt…

     

    Cet ex-collègue avait été diagnostiqué atteint par une SFC (Syndrome de Fatigue Chronique). Il m’avait fait part de son expérience et des solutions qu’il avait trouvées. Après un voyage en Inde, il se disait guéri. Là-bas, il avait suivi des séances d’acupuncture. Depuis son retour, son état se dégradait irrémédiablement.

     

    Aujourd’hui, je me dois de réagir tant les coïncidences sont évidentes. Aujourd’hui, une étude tend à prouver que l’acupuncture peut soulager temporairement les fibromyalgies et SFC[4]. Il est urgent que les pouvoirs en place prennent sérieusement en compte les plaintes des patients disant souffrir des ondes et de l’environnement en général.

     

    Le problème est complexe. Il est souvent déconsidéré par les médecins. Je peux vous affirmer qu’il y a quelque chose. Il est vrai que vivre avec du papier aluminium sur la tête et dormir dans une cage de Faraday peut sembler ridicule et à la limite de la folie. Mais, sans cela, je ne m’en serais pas sorti.

     

    J’espère sincèrement que ce témoignage pourra aider d’autres malades à y voir plus clair et à leur redonner courage.

     

    Cette maladie est insupportable pour deux raisons. Votre état de santé ne cesse de se détériorer malgré vous. Vous n’y comprenez rien.

     

    Je comprend les gens qui en arrivent à mettre fin à leurs jours tant cette maladie est insupportable. Vous n’avez plus le goût à vivre.

     

    Cette maladie est également insupportable à cause de certains médecins que vous consultez. Vous n’avez aucune considération de leur part. Pire, ils critiquent les analyses médicales qui prouvent une anomalie … C’est toujours très facile de critiquer… Mais ils n’ont rien à proposer si ce n’est un diagnostic peu convaincant de Fibromyalgie ou de SFC.

     

    Je me suis entouré de médecins spécialisés (neuropsychiatres, psychologues, Psycho-Neuro-endocrinologues, hépatologues, neurologues…). Je croyais qu’ils étaient capables de faire un diagnostique valable ou, au moins, d’étudier mon cas, de comprendre, de rechercher… Rien de tout cela. Si vous ne rentrez pas dans leur bibliothèque de cas et de symptômes, vous n’avez aucune chance. Ils ne recherchent rien tant ils sont convaincus que votre problème est psychosomatique. Ils ne se basent que sur les publications scientifiques. Votre souffrance ne les intéresse pas. Pire, un neuro-psychiatre m’a remis une publicité sur les antidépresseurs. Ce folio était édité par une firme pharmaceutique ventant les mérites de leurs antidépresseurs (opacifié au dioxyde de Titane) !

     

    Depuis le début, j’ai essayé de trouver un médecin « chercheur ». Je voulais travailler avec lui en « partenariat ». Avant de trouver un médecin spécialisé en médecine environnementale, j’ai été obligé de tout décoder moi-même et de trouver une logique à mon problème. Je passais pour un farfelu. Mais je sais aujourd’hui combien j’ai eu raison de m’écouter et de persévérer dans mon analyse. Sans cela, je serais aujourd’hui certainement sans boulot, sans femme et enfants et entouré de psychiatres me diagnostiquant une SFC ou fibromyalgie. J’en serais peut-être venu à la pire des solutions si je n’avais été supporté par ma famille.

     

    Certains médecins ont une responsabilité dans certains suicides. Ils devraient faire preuve de beaucoup plus d’humilité et d’impuissance. On les comprendrait mieux.

     

    Ce témoignage met aussi en lumière toute l’aberration et l’absurdité de notre monde mercantile. Il illustre également que les ondes électromagnétiques ne sont pas les seules responsables.

     

    Imaginez-vous dans votre cuisine. Imaginez-vous en train de mettre des métaux lourds (de la peinture) dans votre dessert, juste pour le rendre plus appétissant… Jamais vous n’oseriez… Les fabricants, eux, le font sans aucun scrupule et sont couverts par les réglementations en vigueur. J’étais un gros consommateur de chewing-gum contenant du colorant E171. Ces chewing-gums sont recouverts de dioxyde de titane pour leur donner un aspect blanc nacré.

     

    Imaginez-vous dans votre salle de bain. Oseriez vous vous mettre du pétrole sur la figure pour vous soigner… Sans le savoir vous le faites. Pire, vous êtes même convaincu que c’est bon pour votre peau…

     

    Personne ne peut affirmer que la première génération de téléphonie mobile est sans aucun danger pour la santé. La deuxième génération est déjà déployée ou en passe de l’être. Wifi, WiMax, téléphone DECT, Bluetooth se développent à une vitesse vertigineuse et tout semble permis aux firmes et fabricants.

     

    Chaque année, des centaines de nouvelles molécules sont inventées. Elles sont utilisées sans recul suffisant prouvant leurs innocuités. Pire, après avoir comblé les investissements consentis, elles montrent soudainement leurs dangerosités et sont retirées du marché.

     

    Aujourd’hui il y a urgence. Des gens perdent leurs boulots et sombrent dans de réelles dépressions. Des gens se suicident parce qu’ils ne comprennent pas ce qui leur arrive et n’ont aucun soutien.

     

    Que font les pouvoirs publics face aux nombreux témoignages ? Comment les considèrent-ils ? Quels sont leurs plans d’action ? Leur responsabilité est énorme.

     

    Que font les organismes de la santé et les mutuelles ?

     

    Pourquoi les psychologues, neuropsychiatres, médecins, … ont-ils autant de difficultés à considérer de nouvelles approches et à ne pas englober la problématique environnementale dans leurs diagnostics ? Pourquoi la médecine est-elle si cloisonnée ? A quand une médecine non influencée par les firmes pharmaceutiques ?

     

    A quand une médecine de diagnostics et non de prescriptions ?

     

    Ce témoignage est sincère. Mais comme tout témoignage il ne compte pas. La médecine ne se base que sur des études en double aveugle et respectant des protocoles très stricts. Je les comprends. Mais j’espère que ce témoignage pourra éveiller la conscience des médecins et des pouvoirs politiques à une plus grande ouverture d’esprit et leur donner des idées quant à l’organisation de nouvelles études. Trois pistes sont obligatoires et ils doivent en tenir compte :

     

    • L’inertie d’une exposition aux ondes : il faut effectuer des tests qui se déroulent sur une longue période. Une exposition d’une heure ou une journée ne suffit pas à détecter d’éventuels problèmes. La plupart des gens y sont exposés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

    • Le stress oxydatif et les ondes : pour moi, il est la clé du problème. Mon bien-être est directement corrélé à la prise d’antioxydant et à des protections physiques (cage de Faraday ou protection encéphalique) lorsque je suis exposé à des champs électromagnétiques.

    • Le dioxyde de titane : Aujourd’hui on compte utiliser le dioxyde de titane comme nanotechnologie pour pénétrer à l’intérieur du cerveau. Il est utilisé comme dépolluant grâce à ses propriétés chimiques. Il n’est peut-être pas aussi inerte que ce que l’on pouvait croire. Des recherches complémentaires sont obligatoires afin de confirmer ou d’infirmer son innocuité. Ces recherches doivent inclure la problématique du Dioxyde de Titane en combinaison d’une exposition aux ondes.

     

    Faites pression auprès des pouvoirs politiques et médecins.

     

    Des gens se suicident.

     

    Cette maladie doit être reconnue de la même façon que la Suède[5] et la Grande-Bretagne la reconnaissent.

    Lisez la suite de ce témoignage, malheureusement le combat est encore loin d'être gagné !

    Je vous invite maintenant à découvrir les autres pages de ce blog en cliquant sur les liens ci-dessous ou en utilisant les liens repris dans la colonne de gauche sous la rubrique "Catégories" :

    Cage de Faraday

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    [1] Voir : http://www.senat.fr/rap/r03-293/r03-29317.html ou obtenir le document complet à : http://www.ineris.fr/index.php?module=doc&action=getFile&id=33. Dont extrait :

    … / si les nanoparticules pouvaient avoir un réel intérêt thérapeutique en permettant la pénétration cérébrale de nombreux médicaments, il ne fallait pas négliger certaines récentes études montrant que des particules inertes de TiO2 (dioxyde de titane) peuvent devenir à des tailles nano-métriques biologiquement et chimiquement actives selon l'auteur. /…

    … / Ces contacts, sources de radicaux, sont responsables, au moins en partie, de la toxicité des poussières qui possèdent un potentiel inflammatoire important, et ce également pour des poussières que l'on pensait être « inertes » (dioxyde de titane, silice amorphe...). /…

    [3] www.efsa.eu.int/science/afc/afc_opinions/819/opinion_titanium_dioxide1.pdf

    The EFSA Journal (2004) 163:1-12

    Opinion of the Scientific Panel on Food Additives, Flavourings, Processing Aids and materials in Contact with Food on a request from the Commission related to the safety in use of rutile titanium dioxide as an alternative to the presently permitted anatase form. Question N° EFSA-Q-2004-103 Adopted on 7 December 2004

    [4] http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2005090756

    [5] http://www.timesonline.co.uk/article/0,,2087-1774586,00.html (Journal anglais le Times du 11 Septembre 2005)

    Dont extrait :

    "Although most European countries do not recognise the condition, Britain will follow Sweden where electrosensitivity was recognised as a physical impairment in 2000. About 300,000 Swedish men and women are sufferers."