Heureusement, les émetteurs 3G sont présents mais ne sont pas activés. Certaines actions vont être entreprises par les riverains pour forcer le démontage.
La partie est encore loin d’être gagnée. Nous ne connaissons toujours pas la décision finale des autorités. Cette antenne pourrait malgré tout être légitimée !
Un comble car le premier permis a été annulé par le Conseil d’Etat. Un deuxième permis avait été délivré avant l’arrêt rendu par le Conseil d’Etat concernant ce premier permis.
Or ce deuxième permis stipule clairement qu’il a comme objet précis « l’ajout d’antennes sur un pylône existant ».
Au sens strict, les antennes seraient légales mais le pylône ne le serait pas. Comment peut-on faire tenir des antennes sans pylône ?
A suivre…